samedi, février 28

Copie PINARELLO F8 !

A peine croyable , tout juste sorti , déja copié et surtout vendu 5 x moins cher ! Et tout ça au nez et a la barbe du fabricant transalpin sur un site bien connu de nous tous : trocvélo.com !
En attendant d'essuyer les platres des premiers ( inconscients ou malins ? ) utilisateurs voici la fiche technique du cousin du vélo de notre ami FAB " cyclope " ...

Modèle : CarbonFan FM8

Prix : 750€ pour un kit cadre + fourche + tige de selle + Pince + JDD carbone
JDD : 1 1/2" -- 1 1/8"

Dimension au choix :44-46.5-49-51.5-53-55-57.5cm ( 7 tailles bravo ! )
Matière :UD,3K,1K (pour 1K, pix 10% plus élevé)
Finition : brillant,mat
Décor possible, à commander
Garantie 2 ans ( ça c'est un peu trop juste ... )
Axe : BSA(BB68)/BB30 au choix
Poids :cadre 1055gr, fourche 400gr, tige de selle 200gr






vendredi, février 27

La vitesse moyenne n' est pas toujours synonyme de performances !

VITESSE MOYENNE ET ENTRAÎNEMENT PEUVENT-ILS ALLER DE PAIR ?

La moyenne kilométrique au cours des sorties est une donnée importante dans l’esprit de la plupart des cyclistes routiers. À tort ou à raison ? Selon la topographie des parcours ou l’objectif à réaliser, il est toutefois possible de l’améliorer. Voyons comment.

Lorsqu’on parle de performances, s’il y en a une qui est bien invérifiable mais pourtant souvent citée en exemple, c’est celle concernant la moyenne d’une sortie ! De nombreux paramètres entrent en ligne de compte, rendant quasiment impossible toute comparaison à la distance. Le vent, la topographie, les conditions de circulation et, surtout, la manière dont est conduite la sortie (seul, en groupe, sur un circuit fermé…) influencent les chiffres au point qu’on ne peut en tirer de conclusion valable. Il s’avère même que, dans certains cas, cette course à la moyenne est plutôt néfaste en termes de progression sur les courses cyclistes traditionnelles. Néanmoins, pour ceux qui restent attachés aux chiffres bruts, il est toujours possible d’améliorer la moyenne de ses sorties grâce à quelques astuces, finalement bénéfiques à long terme dans la gestion ultérieure d’une performance en compétition.

PIERRE JEAN au sommet du ventoux , avec du vent ou sans celui ci , apres le chalet reynard , le chrono ne sera pas le mème !

OPTIMISER LE TEMPS PASSÉ À L’ENTRAÎNEMENT

Pour beaucoup, se battre contre la moyenne, c’est une manière de rendre utile le temps compté sur le vélo. Éric, 37 ans et ancien coureur de première catégorie, ne peut pas faire autrement, c’est plus fort que lui : « Je suis un hyperactif, je fais toujours plein de choses à la fois. Forcément, pour rouler, c’est toujours compliqué. Je dégage deux matinées par semaine, plus les courses du week-end. Alors, lors de ces deux entraînements de trois heures, si je n’ai pas fait au moins mes 100 km, je ne suis pas satisfait. » Quitte à prendre quelques libertés avec la cohérence dans l’enchaînement des efforts : « Les anciens me disent souvent de rouler plus tranquille, mais par contre de fractionner mes efforts pour cibler des zones particulières. Mais je préfère rouler à allure soutenue et régulière, avec du braquet. » En course, Éric est reconnu comme un courageux, qui n’hésite jamais à se lancer dans des échappées au long cours. Pourtant, il est indéniable qu’il lui manque quelque chose lors des grands coups d’accélérateur du peloton. « Oui, c’est vrai, sourit-il, j’ai un peu le compteur bloqué ! » La recherche de l’optimisation du temps passé à l’entraînement est louable dans le sens où elle s’inscrit déjà dans une démarche volontaire d’être acteur et non spectateur de sa progression ou du maintien de sa condition physique. Mais compter en kilomètres – avec le sentiment de devoir accompli – pousse indéniablement à se battre contre la moyenne plus qu’à travailler spécifiquement les éléments intéressants pour la performance en compétition. Geoffrey, 39 ans, ancien première caté également, en a parfaitement conscience, lui qui vient de l’athlétisme : « Je roule tous les soirs, et je ne supporte pas de ne pas avoir mal aux jambes pendant et après l’entraînement. Sur le vélo, j’ai cru que le principal était d’améliorer sa cylindrée, de rouler fort et longtemps. À mes débuts, j’ai connu le succès grâce à ma force et à mon courage. Mais par la suite, en première et sur les courses en ligne, je me suis rendu compte que j’avais de grosses lacunes techniques et que je manquais d’explosivité. » Deux qualités qu’il lui faudrait travailler nécessairement en acceptant de mettre un frein à une allure moyenne soutenue.


source :http://www.nutri-cycles.com/

jeudi, février 26

Watts sur le tour d' andalousie !

La saison de cyclisme pro 2015 démarre en fanfare avec un premier duel au couteau entre Froome et Contador sur le Tour d'Andalousie 2015. L'Anglais devait finir premier au classement général avec seulement 2s d'avance sur l'Espagnol.





Les coureurs retrouvaient les pentes de l'Alto de Hazallanas (1674m) sur les contreforts de la Sierra Nevada et ses pentes extrêmes (jusqu'à 21%) lors de la troisième étape. Chris Horner y avait distancé Nibali lors de la Vuelta 2013.

Contador attaque à plus de 7 km de l'arrivée au début de la partie finale. Il réalise le meilleur temps en 23min35s, soit 20s de plus seulement qu'Horner en 2013. En puissance étalon 78 kg (celle que fournirait un coureur virtuel placé comme témoin dans le peloton), Contador se situe à 434 watts +/- 7 watts (*). En puissance réelle, la puissance de Contador est de l'ordre de 6,3 w/kg. L'effort pas très long de moins de 25 minutes sur la partie finale a été réalisé après une dizaine de kilomètres d'ascension en peloton suivi d'une courte descente. Romain Bardet, très bon troisième, concède 1min39s. En puissance étalon, il est à 402 watts et autour de 5,8 w/kg en puissance réelle (8% de moins que Contador). Un autre jeune talent du cyclisme, l'érythréen Merhawi Kudus, finit 7ème à 2min15s, soit 392 watts en puissance étalon et 5,75 w/kg en puissance réelle.



source :http://www.chronoswatts.com/

mercredi, février 25

Location de vacances pour cyclo !

Envie de faire du VTT dans le massif de la Clape ou d'arpenter les routes sinueuses du Pays Cathares ou du littoral méditerranéen (Aude - Hérault - Pyrénées Orientales) ?

Notre ami MODESTE  membre ( permanent )  du Team Velo01 met en location estivale un appartement type 2 (4 personnes) tout équipé à 100 m de la grande bleue sur la commune de Narbonne-Plage. Tarifs préférentiels pour les membres du team et connaissances.

mailto:locanarbonneplage@aliceadsl.fr







Avec un peu de chance vous risquez de croiser ça ...


ou le plus souvent ça ...



dimanche, février 22

SELFIE !

la tendance a fini par atteindre nos 4 quadragénaires sur la sortie dominicale sous l impulsion de fab "le chinois " ! Coté météo l exception devient la règle : froid et humidité coté français , beau fixe et doux ( si ! si ! ) coté suisse ! A croire qu' en plus du secret bancaire nos amis suisses aurait également celui de faire briller le soleil sitôt la douane de CRASSY passée ...

Encore un effort PATRICE ( une part de tartiflette en moins ... ) et tu rentres sur la photo !


1ère crevaison de l'année , MODESTE peut tester in vivo sa nouvelle pompe ZEFAL a raccord téléscopique !

NINO hilare , la " grande " forme n'est pas très loin !

samedi, février 21

PIERRE JEAN tient son inscription !

A force d'abnégation PIERRE JEAN a réussi a décrocher son " graal " : un ticket pour la " MARMOTTE " décroché après des mois d'attente ,des courriers et autres mails ! Les organisateurs de la cyclo mondialement célèbre ont délivré le fameux sésame a notre pote , visiblement " émus " devant les recherches infructueuses de celui ci ...Nous voila donc 7 pour relever le défi !
Au passage un mauvais point aux soi disant cyclistes spéculateurs du net prêt a céder leur place a pierre jean pour ... 150 euros !
Allez juste pour commencer a s immerger tout doucement dans la course le profil du premier col : le GLANDON ...



PIERRE JEAN heureux ! 

jeudi, février 19

Logo malentendant !

Merci pour eux !

100% Malentendant

Voulez-vous nous aider à distribuer cet Avis?

Plus ce petit panneau sera connu, plus leur sécurité sera assurée.
Si vous voyez ce panneau, faites expressément attention, IL s’agit d’un usager de la route sourd ou
malentendant.
Nous vous demandons de partager cet Avis.
En effet, plus les gens connaîtrons ce panneau, plus ils circuleront avec plus de sécurité


mercredi, février 18

CLAUDY CRIQUIELION RIP




Claude Criquielion est décédé mercredi matin des suites d'un accident vasculaire cérébral (AVC), a annoncé l'hôpital d'Alost où il avait été pris en charge dans la nuit de dimanche à lundi.

"Claudy", ou le "Crique", a fait carrière au sein du peloton professionnel de 1979 à 1991. Il fut champion du monde sur route en 1984, à Barcelone et possède à son palmarès une soixantaine de succès professionnels. Parmi ceux-ci, on note une Flèche brabançonne (1982), la Classica San Sebastian (1983), deux Flèche wallonne (1985 et 1989), le Tour de Romandie (1986) et le Tour des Flandres (1987). Il a aussi endossé le maillot de champion de Belgique en 1990.
http://www.lalibre.be/



Perso de lui je me rappelle surtout sa chute ( la vidéo en lien ) lors des championnats du monde de cyclisme a RENAIX en 1988 , cela m'arrangeait bien car profitant de celle ci l'italien de l'époque FONDRIEST endossait le maillot de champion du monde ! Par la suite j'apprendrai que la " crique "était un mec bien , réglo et un excellent coureur , au revoir le belge ...

mardi, février 17

La FRINGALE !

Après le post d'hier dédié a MODESTE qui ne sait plus a quel saint ( sein ? ) se vouer pour mincir  en voici un pour notre " chinois " préféré FABRICE victime d'une spectaculaire fringale ce dimanche a 10 km du but !!!

FAB , victime de l'homme au marteau ce dimanche !


Même les plus grands champions ont connu les affres de cette soudaine descente aux enfers, qui les laisse d'un seul coup sans force et vidé d’énergie. La fringale est souvent le compagnon de route des amateurs de la "Petite Reine". A quoi est‑elle due et comment l'éviter ?

L’OUBLI FATAL : 

La définition de la fringale parle d'elle‑même : Il s'agit d'une sensation de faim subite et pressante, qui correspond à un besoin organique soit, en termes plus simples, à une irrépressible envie de manger. Sur le plan physiologique, elle correspond à l'hypoglycémie, c'est-à‑dire à la chute du taux de sucre dans le sang.

Rappelons en effet que le mélange utilisé par le muscle à l'effort se compose de trois constituants, dont les proportions respectives varient selon l'intensité de l'exercice, sa durée et les modalités de ravitaillement.

Il s'agit d'une part des graisses, aux réserves inépuisables même chez le plus affûté d'entre nous, d'autre part du glycogène, sorte de "supercarburant", qui représente un stock restreint de sucres localisé dans les muscles pour l'accomplissement d'efforts soutenus, et il s'agit enfin du glucose prélevé dans le sang.

Or, même si ce dernier ne couvre qu'une faible fraction de l'énergie consommée par l'organisme en cours d'activité (moins de 10% contre 90% pour les graisses et le glycogène réunis), son détournement vers les muscles, qui au repos n'en consomment quasiment pas, va accélérer la chute de la glycémie, autrement dit la chute du sucre disponible au niveau sanguin.

SENSATION DE FAIM :
MESSAGE D’ALERTE

Ce dernier constitue l'unique carburant du cerveau et d'autres organes comme les globules rouges, et cette soudaine restriction va provoquer un rationnement, en particulier au niveau du cerveau, perçu alors comme une agression.

Elle va déclencher une série de réactions "d'alerte", et la sensation de faim qui se manifeste soudainement y participe : elle a une logique évidente. En encourageant l'ingestion d'aliments sucrés elle va amener la victime de la fringale à restaurer le bon approvisionnement du cerveau.

La faiblesse soudain ressentie et la sensation de faim qui saisit l'infortuné coureur en constituent donc les manifestations les plus évidentes. Le stade suivant, chez celui qui n'a pas su interpréter ce message et est resté sans manger, sera plus sévère. On peut alors en effet relever la survenue d'un malaise.


ATTENTION AU STRESS

L'expérience acquise après des années passées à rouler ne met pas forcément à l'abri de cette déconvenue. En effet, on la rencontre le plus souvent dans deux situations qui peuvent d'ailleurs se trouver réunies chez un même sujet.

Il s'agit de l'émotivité et de l'activité sportive, le plus souvent sur une période prolongée.

Dans le cas de notre cyclotouriste, le caractère stressant de l'activité peut paraître bien faible, et c'est a priori plutôt la combinaison d'un exercice prolongé et d'une consommation inadaptée d'aliments qui semble expliquer la survenue de cette anomalie.

Cela étant, on peut également envisager la notion de "stress" au sens large, non pas en se limitant aux seules contraintes psychologiques d'une situation hors norme, mais en considérant aussi celles qui résultent d'une nuit écourtée ou difficile, d'un lever plus matinal que d'habitude, du froid ou de la fatigue accumulée les jours précédents.

Un début de rhume, qu'on peut traiter par le mépris lorsqu'on veut à tout prix mener à bien sa sortie, constitue une autre forme d'agression susceptible de perturber la glycémie.

L'énumération de ces situations évoque certainement beaucoup de souvenirs à la plupart d'entre vous, preuve s'il en est que le stress existe forcément dans le cadre de votre activité sportive,

Or il conduit à la libération de certaines molécules, les "hormones du stress", telles que l'adrénaline ou le cortisol, dont l'un des effets consiste à faire grimper la glycémie, dans un premier temps, avant qu'une réponse correctrice ne fasse chuter ce paramètre, souvent de manière exagérée.

Voilà pourquoi, 80 à 90 mn après l'exposition au stress, une hypoglycémie dite "réactionnelle" peut survenir.

Si au même moment on a avalé du sucre, la réponse se trouve amplifiée, ce qui est paradoxal dans la mesure où le sucre, dans ce contexte, s'avère pourtant nécessaire.

Lorsqu'elles surviennent au cours de l'activité, ces fluctuations de la glycémie demeurent mineures et sans conséquence.

Mais si elles se manifestent au repos, avant l'activité, elles peuvent s'avérer bien plus préjudiciable.

Voilà pourquoi les nutritionnistes s'intéressent, depuis une trentaine d'année à la "ration d'attente", c'est‑à‑dire à l'ensemble des modalités diététiques à envisager entre le dernier repas et la mise en mouvement de l'organisme.

Cet intérêt porte aussi sur les disciplines à faible composante physique, tels que les sports mécaniques, le tir, ou celles où la notion d'attente intervient dans la stratégie, comme le ski, le volley, le tennis, etc... Souvent négligée, cette période qui précède immédiatement l'exercice est essentielle, et c'est là où en général on note qu'il y a le plus de progrès à accomplir.


Article emprunté a DENIS RICHE

lundi, février 16

Poids de forme !

COMMENT ATTEINDRE SON POIDS DE FORME

Les kilos en trop sont les ennemis du sportif et du cycliste en particulier. Voici quelques conseils pour parvenir au poids de forme, et ensuite pouvoir le maintenir, alors qu’approche le début de saison.

Quelques kilos superflus ne présentent pas que des problèmes esthétiques aux sportifs un peu égocentriques que nous sommes. On peut à la limite très bien s’accommoder d’un ventre qui tombe sous le maillot, d’une paire de cuisses serrée dans le cuissard, ou d’un mollet qui marque sous la chaussette. Mais au cours de l’effort, le surpoids peut très vite devenir fort handicapant, surtout dès qu’il s’agit d’affronter les déclivités, ou les relances à répétition. Il est d’ailleurs amusant de constater le nombre de passionnés de vélo qui s’adonnent à leur pratique favorite : la chasse aux grammes sur leur bécane, alors que dans le même temps ils disposent d’un très bon coup de fourchette. Ne nous méprenons pas. Il n’est pas question pour nous de fustiger ce type de pratique, fort louable lorsqu’on se définit comme un épicurien. Mais il est parfois nécessaire de remettre les choses à leur place. Pour être performant, c’est sur l’ensemble du poids de l’homme et de la machine qu’il faut travailler, pas seulement sur la dernière paire de roues à la mode. Ainsi, gagner 100 g sur le vélo revient au même que gagner 100 g sur son poids de corps. Cela revient juste beaucoup plus cher dans le premier cas !


QUEL GAIN ATTENDRE ?

Perdre 3 kg sur l’ensemble homme-machine pour un coureur de 70 kg environ offre un gain d’une minute sur 10 km de montée à 7% de pente, à puissance égale. Une paille pour certain, un gouffre pour les compétiteurs. Ces derniers sont d’autant plus sensibles à une variation d’un kilo que le poids n’est pas seulement sensible lors d’une ascension longue et régulière. À chaque accélération, relance, ou démarrage, qui se produisent par dizaines lors d’une compétition, le poids en trop se traduit par une inertie qui finit par peser très lourd à la longue. Plus les vitesses sont basses, plus la notion du poids est importante. En VTT par exemple, la rudesse des pentes ou les passages boueux et techniques sont un véritable enfer pour les « gros ». Une perte de poids bien conduite conduit aussi généralement à une amélioration de la condition physique générale, ce qui ne manque pas d’amplifier le phénomène. Pour se faire, tout l’enjeu de « l’affûtage » est de préserver ses muscles et de ne pas perdre de puissance, ceci afin d’optimiser le fameux rapport poids-puissance.

LA NOTION DE MASSE GRASSE


Plus que de poids, on va plutôt parler de masse grasse. Car un sportif très athlétique, même lourd, dispose en principe d’une puissance musculaire en rapport. En revanche, lorsque, pour le même poids, le sportif est plus gras que musclé, cela devient problématique pour la performance sportive et sur le plan de la santé. Il existe plusieurs manières de mesurer le taux de masse grasse de chaque individu. Les deux plus simples sont la mesure des plis cutanés, pratiquée par un médecin à l’aide d’une pince spéciale, et les balances à impédencemètre qui calculent, en plus du poids total, le taux de masse maigre (muscles, squelette, eau…) et le taux de tissu adipeux. Ces balances, si elles ne sont pas d’une précision extrême, sont aujourd’hui en vente à des prix raisonnables, et peuvent aider à la surveillance de sa forme physique. Un taux de masse grasse est considéré comme normal s’il est situé entre 20 et 25 % pour une femme, et entre 10 et 15 % pour un homme. Les athlètes de haut niveau se situent plutôt entre 5 et 8 % en pleine saison.


LE POIDS DE FORME

Il faut différencier le poids de forme de celui qu’aimerait atteindre le sportif jusqu’au-boutiste. Certains considèrent à tort que si le surpoids est un ennemi, plus ils maigrissent, plus ils vont être performants. Or, le poids de forme doit correspondre à deux critères essentiels pour qu’on puisse le nommer ainsi. C’est tout d’abord le poids qui permet de s’exprimer au mieux dans la discipline choisie. Pour nous, c’est le vélo. Donc le poids qui nous offre le meilleur rapport entre puissance et masse à déplacer. C’est ensuite un poids qui maintient l’organisme en excellente condition, malgré les situations de stress et de fatigue auxquelles il est soumis en pleine saison d’objectifs. Pas question ici de sombrer dans la fatigue chronique, en cumulant privations alimentaires et efforts soutenus et répétés. Une bonne récupération, un sommeil apaisant, une bonne humeur générale et un poids stable sont les signes de ce que l’ont peut appeler le poids de forme. Surtout si celui-ci est accompagné des performances escomptées. Une maigreur extrême peut avoir l’effet inverse. Carences et fatigue peuvent accompagner une perte de poids trop rapide et mal conduite. Nous ne sommes plus dans le cas de poids de forme. Il est très intéressant de noter les divers éléments qui conduisent à l’acquisition et au maintien du poids de forme sur un carnet d’entraînement. L’athlète dispose ensuite d’indications intéressantes et reproductibles d’une année sur l’autre, afin de préparer ses objectifs.

MÉNAGER LA MONTURE


Lorsqu’on a des kilos à perdre, il faut en tout premier lieu déterminer la cause de ce surpoids. Dans de très rares cas, surtout pour des sportifs réguliers, il peut s’agir de problèmes de santé, notamment liés à la prise de certains médicaments. Le facteur génétique est une explication plus fréquente. Nous disposons tous d’un gabarit qui correspond à notre ossature et à notre musculature. Les cellules graisseuses sont également plus difficiles à éliminer lorsqu’elles se sont installées durant l’enfance ou l’adolescence. Il peut donc être réellement compliqué d’atteindre le poids idéal dans ces cas bien particuliers. Néanmoins, la plupart du temps, le surpoids a pour origine un déséquilibre des habitudes alimentaires, tout simplement. Il est juste nécessaire de réapprendre à manger. Dans certains cas, compte tenu de notre culture, c’est un véritable obstacle. Toutefois, l’important à retenir est qu’un régime spartiate et une activité physique régulière et intense ne font pas bon ménage. Pour les meilleures chances de succès, il faut adopter la même stratégie qu’à l’entraînement. Qui veut aller loin ménage sa monture : au début d’un régime, il faut manger à sa faim, des choses saines et variées, à heures régulières, et ne pas grignoter entre les repas ! Comme nous avons besoin d’énergie pour l’entraînement, il est hors de question de supprimer les sucres lents, qui doivent représenter entre 55 et 60 % des calories consommées dans la journée. Pour s’assurer le succès, on ne néglige pas les protéines, on s’abstient de sucreries en dehors de l’effort et on veille à maintenir un niveau d’hydratation suffisant. En respectant ces règles simples, on a toutes les chances de perdre le superflu et de maintenir le cap ensuite.

COMMENT ROULER POUR SÉCHER ?

Le métabolisme réagit différemment en fonction de l’allure imposée par le sportif. À faible allure, l’organisme puise son énergie principalement dans les graisses de réserve, qui sont quasi inépuisables, même chez des sujets très maigres. En adoptant une allure très soutenue, le rapport s’inverse entre les éléments qui servent de carburant. Plus on force, plus c’est le glycogène stocké en quantité limitée dans les muscles et dans le foie qui est utilisé. La baisse rapide des réserves en glycogène explique le phénomène de défaillance ou de fringale que l’on a tous rencontré un jour ou l’autre lors d’un effort mal géré. Le glycogène se reconstitue grâce aux sucres lents ou rapides que l’on consomme. On pourrait croire en conséquence que, pour s’affûter tout en maintenant intactes ses réserves de sucres, il faut se contenter de rouler doucement. En théorie, oui. Mais quelques chiffres donnent le tournis : un kilo de graisse, c’est environ 8 000 calories. Pour consommer 8 000 calories exclusivement de gras, il faudrait rouler entre 20 et 25 heures à faible allure, pour faire pencher la balance du bon côté, et en surveillant bien entendu tous les autres apports. Les sorties à intensité plus élevées sont certes moins intéressantes sur le strict point de vue de la consommation des graisses de réserve, puisque ce sont les sucres qui sont brûlés en priorité. Néanmoins, les sorties intensives ont l’avantage d’élever le métabolisme de base du sportif, c’est-à-dire les calories qu’il consomme au repos, surtout en phase de récupération de ces efforts violents. En d’autres termes, même les sorties intenses favorisent l’amaigrissement, toujours en adoptant un équilibre alimentaire qui fait la part belle aux aliments essentiels.

La perte de poids dépend donc d’un subtil mélange entre un entraînement sérieux mais varié, un régime suivi mais non draconien, et surtout un bien-être et une motivation qui sont la clé de la réussite. Ne vous prenez pas trop la tête, et vous roulerez plus léger !

http://www.velochannel.com/

vendredi, février 13

ZIPP rappelle ses moyeux !

Zipp rappelle ses moyeux avant 88 de toute première génération !

Zipp a identifié un souci technique sur la production d’une série de roues Zipp fabriquées avec le moyeu avant Zipp 88. Zipp a lancé la procédure auprès du CPSC pour un rappel intégral.

L’objet de ce rappel concerne le maintien des rayons et uniquement la toute première génération de moyeux avant. Pour être plus précis, le moyeu 88 de toute première génération pourrait entraîner une défaillance de la collerette susceptible de faire sortir tous les rayons de la roue. Ce qui pourrait entraîner une défaillance de la roue.

Comment identifier la version de moyeux avant Zipp 88


1. Ce rappel concerne uniquement les moyeux avant ZIPP 88 de toute première génération. Si vous n’êtes pas sûr du modèle, les contrôles visuels sont simples à effectuer. Si, malgré tout, vous avez encore le moindre doute, rendez-vous chez votre revendeur local/ habituel afin qu’il prenne la décision finale.

2. Les moyeux qui ne sont pas concernés par ce rappel présentent des contre-écrous plus grands qui empêchent les rayons de sortir.


3. Si votre roue avant est à portée de main, vérifiez les éléments suivants :

Inspectez uniquement votre moyeu avant.

La collerette et le contre-écrou sont semblables à l’élément de gauche (image 1).

La collerette est plus large avec un « Z » et le contre-écrou argenté est plus petit.
Les moyeux équipés de cette collerette et de ce contre-écrou ont été produits entre octobre 2008 et mai 2010.

Si votre roue avant est équipée de cette collerette et de ce contre écrou, n’utilisez plus votre vélo avant d’avoir ramené la roue à votre revendeur pour procéder à son échange. Si votre roue avant n’est pas équipée d’une collerette et d’un contre-écrou de cette taille, elle n’est pas concernée par ce rappel et vous pouvez continuer à utiliser votre vélo.
Si votre moyeu avant est concerné par le rappel, cessez immédiatement d’utiliser votre vélo jusqu’au remplacement du moyeu !

Si vous n’êtes pas sûr du modèle de moyeu avant Zipp, rendez-vous chez votre revendeur local/ habituel pour confirmation avant d’utiliser à nouveau votre vélo.

4. Les logos « Z » présents sur les collerettes permettent d’identifier les moyeux Zipp 88 de toute première génération (voir les images 1 et 2 ci-dessous). Ces logos ne sont présents sur aucune autre version de la collerette. La flasque du moyeu est argentée et les collerettes sont grises de série et grises, rouges, bleues, roses ou dorées pour les options ZedTech. Le diamètre extérieur des deux contre-écrous est d’environ 29mm.

Le moyeu concerné dispose d’une collerette et d’un contre-écrou semblables aux pièces de gauche (anneau coloré, avec un « Z » et un contre-écrou plus petit). Les pièces de droite illustrent une collerette et un contre-écrou non concernés par le rappel. L’écrou est plus large (37 mm de diamètre) et la collerette plus petite, sans « Z ».

Étapes à suivre par le consommateur

Après avoir identifié les moyeux concernés par le rappel, les consommateurs sont invités à les ramener chez leur magasin de vélo revendeur SRAM ou Zipp le plus proche, qui déclenchera immédiatement la procédure de garantie. Nul doute que cette procédure de retour passera par le DSD SRAM France.

La plupart des consommateurs bénéficieront d’une réparation de leur roue avec de nouvelles pièces, sans aucun frais. Si les consommateurs n’arrivent pas à joindre leur revendeur local, ont des questions ou ont besoin d’assistance, ils sont priés d’appeler le Service Center SRAM.

Les différents Service Centers SRAM peuvent être trouvés sur le site www.sram.com


mercredi, février 11

LIKE BIKE 2015 : 1er salon du vélo de luxe !

LikeBike est le premier salon dédié au monde du cyclisme de luxe. Il se tiendra à Monte Carlo durant le week-end de Pâques, du 3 au 5 avril 2015. Quelques vélos parmi les plus chers et luxueux qui y seront présentés. Regarder, rêver, flâner ou peut-être … prospecter, voici de quoi vous mettre l’eau à la bouche.

Votre femme pensait déjà que votre bicyclette coutait bien plus chère que la voiture, voir que toutes ses paires de chaussures réunies ! Et bien Messieurs, voici un argument de taille : Il exite encore plus cher ! Et ce sera visible au salon LikeBike qui s’installe en 2015 au Grimaldi Forum de Monaco pour le week-end de pâques !

Mais quel est ce salon ? LikeBike, c’est le salon de la haute couture du cycle, le cyclisme de luxe ! Et si Mesdames, ça y est l’homme possède encore une démesure supplémentaire dans sa passion au sein de laquelle des marques comme Nevi ou Dassi viennent faire concurrence à Givenchy ou Louboutin !

Quant à savoir si cela est utile, raisonnable, démesuré ou complètement fou ? Je n’ai pas de réponse pragmatique à vous faire ! Mais la prochaine fois, qu’avec délice, j’accompagnerais ma femme pour l’aider à choisir des chaussures, je vous promets de noter les différents arguments !

Plus de détails et réservations sur le site officiel de l’événement : www.likebikemc.com. En attendant, voici quelques exemples de ce que vous pourrez trouver au salon LikeBike.

BestiaNera MonteCarlo Edition par T°RED 17900 €


La BestiaNera est le vélo hybride réinventé. De la fibre de carbone entièrement transformée par le designer italien Romolo Stanco en le vélo le plus cool, le plus léger et le plus flexible de tous les temps. La MonteCarlo Edition permet de passer d’un vélo de piste à un vélo hybride de sport urbain en moins de 10 minutes. Garez la devant le casino après votre virée en ville ou votre record du tour et regardez les autres voitures de sport disparaître en face d’elle.

Spinas par NEVI 12900 €


Nevi a été créée en 1992 grâce à la détermination de ses deux co-fondateurs, Consuelo et Sergio Finazzi. Depuis le début de l’aventure, leur but a toujours été de se distinguer des autres fabricants de cadres de vélo, d’où le choix de travailler avec un matériau noble qu’est le titane.

Pininfarina Fuoriserie par Pininfarina 9000 €



Le Pininfarina Fuoriserie est un vélo de luxe entièrement fabriqué sur mesure en Italie par des artisans de 43Milano, pour une édition limitée à 30 exemplaires. Inspirée des icônes automobiles des années 30 créées sur mesure, il lie des éléments de la tradition, tels que le cuir torsadé The Bridge de la selle et du guidon, à des aspects innovants, comme le micromoteur électrique qui assiste le pédalage.


Aero Road 6.2 par Dassi 7451 €



Ce modèle a été conçu au Royaume-Uni par un ancien ingénieur Rolls-Royce avant d’être peint et assemblé à la main. À compter du 1er avril, l’ensemble des modèles seront fabriqués au Royaume-Uni, où la firme Dassi a d’ores et déjà lancé un programme de recherche avancé sur les matériaux nano-composites, l’intégration électronique, les roues aérodynamiques et sur les finitions de teinte en nano polymère.

Urban One par Guapa 5000 €


L’Urban One est un vélo sur-mesure en bois, fabriqué à la main en Angleterre. Ce vélo allie la technologie de pointe et la performance à un design intemporel. Une édition très limitée de 5 exemplaires sera dévoilée lors du salon LikeBike, et d’autres seront également disponibles sur commande, avec options de gravure et de teinte personnalisées.

Enfin, notez également que des marques comme Time ou X-Bionic seront présentes pour vous faire rêver !

http://www.nutri-cycles.com/

mardi, février 10

Le F8 de WIGGINS .

Avant de s'attaquer au record de l 'heure et de clôturer sa carrière sur route WIGGINS aura le privilège de rouler sur une version unique et personnalisé du PINARELLO F8 , voici le premier cliché du cadre qu 'il étrennera pour sa dernière saison ...



Finalement il l'utilise déja sur le tour du QUATAR !

samedi, février 7

SERGIO et LE CYCLOPE : le skating expliqué aux cousins novices !!!



FAB et SERGIO les rois  de la glisse !!! 

NINO pas une seule fois inquiet pour sa " prothèse " du fémur ! tout schuss dans les descentes , ça passe ou ( souvent ! ) ça casse ! Et quelle classe ce bonnet ...

FAB et son brassard fluo de la " DDE " des fois qu ' il se perde !!!

12 bornes pour aujourd'hui , ça ira bien pour un début !


Attention maître SERGIO est prêt pour la leçon !

jeudi, février 5

Foncier : indispensable ? 2 ème partie

Travailler la technique

L’entraînement en endurance ou foncier ne doit pas se faire toujours sur un même développement. La condition physique évolue aussi bien en tenant compte des capacités physiques que des qualités techniques et gestuelles. C’est la période idéale pour travailler ses points faibles. L’époque où l’on imposait un certain nombre de kilomètres sur le petit plateau est révolue. Aujourd’hui, on a compris que, pour progresser, il faut avant tout être capable de naviguer sur toute la gamme de braquets disponibles. Plutôt que d’enchaîner les kilomètres à 90 tours de pédale par minute, il est plus intéressant de programmer quelques exercices en « survélocité », et d’autres en musculation spécifique. Le tout en contrôlant l’emballement du rythme cardiaque, pour rester dans la fourchette d’intensité visée. Au fur et à mesure des sorties, le coup de pédale devient à la fois plus souple et plus puissant, et surtout plus économique. Ce type d’exercice peut se programmer en côtes, dans les descentes, face au vent, ou même sur home-trainer lors des séances tardives. Cette dernière option est même préférable pour ceux qui disposent de peu de temps, sachant que, même en période foncière, on progresse mieux en réservant pour chaque séance un type d’exercice.


Vérifier les bienfaits du travail foncier

La période à consacrer au foncier dépend du niveau de base du pratiquant et de ses objectifs. Sachant que l’on ne peut raisonnablement espérer passer trois niveaux d’un coup en un seul hiver, cet aspect qualitatif dépend également des kilomètres effectués les saisons précédentes. Pour résumer, un coureur de haut niveau, même s’il fait plus de volume l’hiver, consacre moins de temps proportionnellement au bloc dit foncier, car la régularité et la fréquence de ses entraînements lui permettent de retrouver très vite son niveau de base après une coupure. Mais pour le novice ou le « dilettante », cette période doit être plus longue pour bien assimiler les progrès. Semaine après semaine, le coureur est plus à l’aise sur sa machine. Les côtes, les descentes ou la position mains en bas du guidon lui pèsent moins. Le souffle est plus régulier, et surtout bien contrôlé. La masse grasse diminue progressivement, il se sent moins engoncé dans ses vêtements, beaucoup plus tonique aussi. Mais le signe le plus tangible concerne la fréquence cardiaque. Au repos, elle est plus régulière et surtout plus basse. Les lendemains d’entraînement, la fatigue n’est plus que légère et superficielle. Après un effort de moyenne intensité, le cœur redescend plus vite. Et lors d’un entraînement, sur les parcours habituels, la fréquence cardiaque est plus basse, on se sent moins essoufflé pour la même allure que celle qui était adoptée en début de période.


Comment s’organiser ?

Si la période de transition (octobre/novembre/décembre) était consacrée à l’entretien minimum des qualités sportives, voire à un changement d’univers en pratiquant d’autres sports de façon ludique, le vrai bloc de foncier ou d’endurance destiné à préparer une saison complète doit se recentrer sur la pratique spécifique du vélo. Foncier et endurance ne veulent pas dire des sorties de cinq heures tous les samedis et dimanches des mois de janvier et de février, tout simplement parce que l’organisme ne supporterait pas une telle agression sans fatigue excessive. L’idéal, lorsqu’on le peut, est de programmer deux sorties « longues » par semaine, mais en augmentant les distances progressivement. De 3 h début janvier à 4 h 30/5 h deux mois plus tard, pour celui qui débute sa saison de cyclosportives courant avril. Le reste du temps, il faudrait pouvoir rouler le plus fréquemment possible, mais pour de courtes distances, ou alors sur le home-trainer. Pour ne pas accumuler trop de fatigue, mieux vaut éviter de caser les deux sorties longues deux jours de suite (le week-end). Les sorties courtes servent à travailler plus spécifiquement, et ne peuvent durer qu’une heure, si elles sont fréquentes. Par exemple, une sortie d’une heure sur route ou home-trainer destinée à des petites séries en vélocité. Ou alors, le surlendemain, une sortie d’une heure avec cinq fois une côte montée assis sur le grand plateau, en restant à 80 % de ses capacités cardiaques. Ou encore une sortie d’une heure en alternant le pédalage d’une seule jambe toutes les trois minutes, etc. Chaque sortie courte spécifique doit être accompagnée d’un échauffement léger et d’un retour au calme pour encadrer les exercices. Au fur et à mesure des semaines, on peut augmenter la difficulté (mettre une dent de plus, par exemple) ou le nombre de répétitions .


Quand débloquer le moteur ?

Plus l’entraînement foncier est de qualité, plus la saison a de chances de se montrer prolifique, mais plus la transition entre la préparation et la période de compétition risque d’être difficile. C’est paradoxal, mais en contrôlant ses efforts, on se bloque sur certaines fréquences cardiaques, et on manque ensuite de ressort. Bref, on manque de rythme. C’est pour cette raison qu’il ne faut pas toujours tenir compte du niveau de chacun lors des sorties en groupe au cours de l’hiver. Arrivé à un bon mois des premières épreuves, il est temps d’intégrer des séances de rythme à l’entraînement, et des séances plus spécifiques de fractionnés. Pour débrider l’organisme, rien de tel que des sprints aux pancartes dans un premier temps. L’accent doit aussi être mis sur le travail de seuil, ainsi que sur le « jeu de course » entre collègues. Les séances peuvent aussi être musclées par des enchaînements de bosses montées à différentes allures, et sur différents braquets. Pour se débrider, il est nécessaire de varier volontairement les allures, et de ne plus en rajouter question volume. Au début, c’est difficile, mais très vite vous vous apercevrez des bienfaits de votre préparation. Et surtout, que chaque entraînement en intensité, puisqu’il s’appuiera sur un bloc foncier de qualité, vous fera progresser très nettement d’une semaine à l’autre. C’est donc dès janvier que la stratégie globale pour réussir une bonne saison se met en place.


http://www.velochannel.com

mercredi, février 4

NIBALI sur un FAT !!!

Qu’est ce qu’un Fat Bike et d’où vient cette pratique ?



Les fat-bikes sont nés il y a environ 10 ans en Amérique du Nord. L’objectif initial était d’obtenir des vélos aptes à rouler facilement dans la neige. Ils sont d’ailleurs couramment appelés Snow-bikes outre-Atlantique. L’objectif recherché était la portance maximum. Pour cela les pneus se sont élargis ainsi que les jantes pour atteindre pratiquement 5 pouces pour les pneus et 100mm pour les jantes.

Par extension, le terrain de jeu de ces vélos s’est étendu à l’opposé des déserts blancs et froids vers les chauds déserts de sable fin où leur portance fait également merveille.



Peu à peu, les utilisateurs de Snow-bikes, se sont mis à utiliser leurs vélos en dehors des périodes d’enneigement et se sont rendus compte des avantages que pouvaient leur procurer ses vélos : plus d’adhérence sur tous les terrains, plus de confort,une meilleure portance sur d’autres terrains meubles, la possibilité de rouler dans des lits de gros cailloux…

… si bien que l’on trouve désormais des fabricants de fat-bikes, notamment européens, qui revendiquent clairement la vocation réellement tout-terrain de leurs vélos non cantonnés à la neige ou au sable.

source :http://www.lebraquetdelaliberte.com/