lundi, mars 30

Comparatif gels énergétiques 2015 ...

Après les boissons nicolas AUBINEAU a testé les gels ! Impossible de tricher puisque son analyse se base UNIQUEMENT sur la valeur nutritionnelle et rien d'autres !En avant pour son remarquable article ...


Mes  comparatifs établis en octobre de l’année dernière sur les barres, gels et boissons de l’effort ont permis à bon nombre de personnes de pouvoir avoir des billes en main ! Avec ces tableaux, vous pouvez sélectionner votre boisson de l’effort ou votre barre de l’effort en fonction du (ou des) critères qui vous semblent les plus appropriés : qualité, coût, rapport qualité/prix…
L’étape suivante étant de comparer un des produits phares de la nutrition du sport : les gels énergétiques. Il en existe de nombreux sur le marché, j’en ai donc sélectionné de manière aléatoire pour chacune des marques.
Je présente une comparaison simple en me positionnant sur la base représentative singulière d’un gel, en l’occurence, son analyse nutritionnelle.

Méthode d’analyse :

Ressortir les marques les plus présentes sur le net => j’en ai dénombré 13.
Avoir un point de comparaison simple et efficace pour l’internaute soit 1 gel.
Ressortir les ingrédients importants ainsi que leur grammage et regardez le(s)quel(s) sont absent(s) ou insuffisant(s) => pour ne pas fausser le comparatif, j’ai pris la même base que le comparatif sur les barres.
Établir un prix au gramme pour comparer le coût réel du gel.
Noter via un critère que j’ai défini (et expliqué) la qualité du gel et son tarif pour obtenir une moyenne. Cette dernière peut être modifiée suivant si votre critère principal est le coût ou la qualité.
Voici les marques comparées (par ordre alphabétique) : Aptonia® – Fenioux Multisport® – GO2® – G.U® – Inkospor® – Isostar® – Mulebar® – MX3® – Overstim’s® – PowerBar® – Punch Power® – Scientec Nutrition® – +Watt®.

Analyse des gels énerégtiques du marché français.

En préambule, un gel ne peut être à lui seul l’apport principal d’énergie (macronutriments) et de micronutriments. La note qualité va de 8 à 15 pour une moyenne de 10.3 contre 14.3 pour les boissons !

Les lauréats sont :

Le meilleur rapport qualité/prix est le Gel Energy d’Isostar® devant le Gel Energy de GU® et l’Energy Gel d’Aptonia®.
Les meilleurs gels (en qualité pure) est le Gel Energy de GU® (15) devant le Gel Energy d’Isostar®, l’Over Blast de Scientec Nutrition® et l’AC+ de GO2®. La note max. est de 15/20 contre 18 pour les boissons !

Le meilleur prix est le Gel energy d’Isostar® devant l’Energy Gel d’Aptonia®.

Points importants :

La note maximale des meilleurs gels est quasiment au niveau des moins bonnes barres ou boissons ! Ce genre de produit n’est donc vraiment pas l’idéal durant l’effort !

Les gels sont relativement bien dosés en glucides (seul 1 a moins de 18 g). C’est relativement normal car c’est la base d’un gel !

Le sodium est apporté dans la majorité des gels mais pas en quantité adaptée. En effet, on passe de 5 mg pour Aptonia® à 210 mg pour PowerBar® alors que ce nutriment est très important durant l’effort.

Le potassium est soit ignoré, soit sous-dosé alors qu’il est pourtant très utile lors des courses où la température extérieure est chaude (théoriquement > 25°C).

Le magnésium (tout comme la potassium) n’est pas présent en quantité acceptable sur 1 gel alors que les autres marques n’en mettent pas. Il est intéressant notamment pour la prévention des crampes (mais ce n’est pas le seul facteur à entrer en jeu, la cause étant multifactorielle !!!).


Les antioxydants: seulement 5 gels présentent des quantités suffisantes…

Les vitamines du groupe B sont importantes car elles participent de manière générale au métabolisme énergétique.

Les BCCAs ne sont présent que dans le Gel Energy de GU®.

On voit donc clairement qu’il n’existe pas de gel complet comme certaines boissons ou barres peuvent l’être. C’est très dommageable quand on sait que c’est un produit très utilisé par la masse des coureurs ! En mettant les notes et en voyant qu’elles oscillaient entre 8 et 13 (dont la majorité entre 9 et 11), il y a très peu de différences entre chaque !

A ceux qui parlent de marketing, les 2 gels qui emploient l’allégation « antioxydant » sont moins bien dosés en vit. C et/ou E que les autres gels qui en possèdent… Traduction : les 2 gels qui se disent « antioxydant » sont quasiment ceux qui en sont le moins dosés !

Enfin critique (réglementaire) contre GO2® qui parle ouvertement de « AC+ Mandarine givrée Gel anti-crampe« , de « conseils médicaux » avec « une amélioration spectaculaire de vos performances ». Une petite preuve scientifique serait pas mal! :)

Toujours dans mon souci de transparence, je collabore avec Nutratlétic® mais ce document est réalisé en dehors de Nutratlétic®.

J’espère avoir mis ma pierre à l’édifice concernant le choix d’un gel.
« Sachez cependant que chaque utilisateur doit trouver
le gel de l’effort qui lui convient ! »

Nicolas AUBINEAU
Diététicien Nutritionniste du sport et en clinique

vendredi, mars 27

JURA : Trophée destination vélo 2015 !

Alors que débute la saison Vélo, La Fédération Française de Cyclotourisme (FFCT), partenaire du Salon Destinations Nature de Paris, décerne, pour la deuxième année consécutive, le « Trophée Destination Vélo de l’année », qui récompense le territoire le mieux adapté pour la pratique du tourisme à vélo.

Le Jura obtient le 1er prix du trophée « Destination Vélo 2015 » !

Non , non , c'est pas josé bové au milieu ..

Ce 1er prix à été remis le vendredi 20 Mars à 12h, sur le Forum d’animations du Mondial du Tourisme, par Dominique Lamouller, Président de la FFCT, au Président de Jura Tourisme. Drôme et l’Allier sont les deux autres destinations lauréates après le Jura.

Le Mondial du Tourisme se tient à Paris Expo – Porte de Versailles, en même temps et au même endroit que le Salon Destinations Nature.
Le Vélo, une priorité pour le Département du Jura
Cette reconnaissance vient récompenser la politique Vélo, portée depuis plusieurs années par Jura Tourisme et le Conseil général du Jura, via la mission Déplacements Doux, en concertation avec le CODEP 39.

Pour promouvoir le vélo dans le Jura, le Club Jura Vélo a été créé après le passage du Tour de France en 2010. Piloté par Jura Tourisme, ce club réunit les Offices de Tourisme Jura Monts Rivières, Pays des Lacs et Petite Montagne, Pays de Dole, Haut-Jura Saint-Claude, Jura Sud, Oh ! Jura (Morez), la Sogestar (Société de Gestion de la Station des Rousses), l’association des Grandes Traversées du Jura, et le Conseil général du Jura.

Augmenter la notoriété de la destination Jura pour la filière Vélo et communiquer sur une image de destination cyclo à part entière, sont les deux objectifs prioritaires du Club.

Aujourd’hui l’offre vélo du Jura comprend 2 070 km d’itinéraires cyclables et 1 980 km de circuits VTT balisés et praticables.

Compte tenu de la diversité de l’offre vélo du Jura, tous les pratiquants, quelque soit leur niveau, trouvent des parcours adaptés à leur pratique : familles en vélo, cyclo touristes, vététistes, cyclo sportifs et itinérants sont des cibles potentielles pour le département.

Le Jura à vélo c’est :

26 boucles vélo signalées pour tous les niveaux (de 7 à 134 km).
2 tours du Jura à vélo signalés à l’année :
Sportif : 250 km / 3 900 m de dénivelé. Parcours comprenant une variante par la Haute Vallée de la Saine.
Loisirs : 155 km / moins de 1 000 m de dénivelé.
11 cols et montées remarquables signalés par des bornes avec les informations suivantes : nom, altitude, distance avant le sommet, % de pente.
La Grande Traversée du Jura cyclo : 360 km sur les 3 départements du Doubs, du Jura et de l’Ain (soit 82 km pour la partie jurassienne).
Les véloroutes et voies vertes inscrites dans le schéma départemental (114 km réalisés à ce jour) :
L’EuroVelo 6 dans la vallée du Doubs = 54 km dont un tronçon de 3km est labellisé Tourisme et Handicap.
La Voie PLM de Perrigny jusqu’à Châtillon = 18km
La Voie Bressane entre Lons-le-Saunier et Louhans. La partie jurassienne étant terminée, la Saône-et-Loire doit prendre le relai pour que la voie puisse relier Lons-le-Saunier, Louhans puis Chalon-sur-Saône = 10km
La Voie des Salines entre Ranchot et Salins-les-Bains (en cours de réalisation) = 28km
La Voie de la Bresse Jurassienne qui reliera Dole à Lons-Le-Saunier d’ici quelques années (les travaux ayant débuté en automne 2014). = 4.5km de réalisés sur les 50 km du projet total.

http://cyclotourisme-mag.com

mardi, mars 24

AUDI SPORT racing bike !

Audi a développé un vélo de course à 5,8 kg : Le Sport Racing Bike. Il sera commercialisé en 50 exemplaires numérotés.

L’industrie automobile fer de lance de la technologie carbone ? Sans aucun doute ! Nous vous avions déjà fait découvrir l’an passé le Tarmac Specialized S-Works réalisé en collaboration avec la firme Anglaise McLaren. En ce printemps 2015, c’est le constructeur Allemand qui dévoile son vélo de route carbone : L’Audi Sport Racing Bike !

Pour la première fois, Audi lance sur le marché un vélo de course high tech en carbone, au design sportif et à la construction ultralégère. Ce vélo, produit en édition limitée à 50 exemplaires dans le monde, a été présenté au public au 85ème Salon de l’Automobile de Genève.

Groupe Shimano Dura-Ace Di2 électronique, roues carbone Lightweight, le design du cadre est sobre et classieux !

Audi a développé ce vélo de course en collaboration avec CarbonSports, fabricant de composants de vélo en carbone ultraléger. Ce nom ne vous dit peut-être rien mais les cyclistes amateurs de produits carbone ultra léger rêvent devant ses paires de roues : Lightweight ! Si je vous dis MEILENSTEIN ou GIPFELSTURM ? Bon d'accord, vous ne connaissez pas forcément la dénomination, mais sans doute avez-vous déjà vu un vélo équipé de ces roues magnifiques avec jantes et rayons carbone.

Le design de l’Audi Sport Racing Bike est dessiné par l’Audi Concept Design Studio à Munich qui a imaginé sa combinaison de couleurs. La selle est en cuir Fine Nappa, issu de la nouvelle Audi R8.

Le cadre ne pèse que 790 grammes et les roues sont en carbone, plus précisément en fibre de carbone T1000, utilisée pour le tableau de bord de l’Audi R18 e-tron quattro. Le vélo au look Audi Sport ne pèse en tout que 5,8 kg et arbore son numéro de production de 1 à 50.

Le vélo sera disponible en 4 tailles à la commande sur www.audi-shop.fr au tarif de 19500 € à partir du mois d’avril 2015.

Enfin rappelons, pour les cyclistes qui souhaiteraient en prendre plein la vue, que le salon LikeBike 2015, qui est le premier salon dédié au monde du cyclisme de luxe, se tiendra à Monte Carlo durant le week-end de Pâques, du 3 au 5 avril 2015.






source :http://www.nutri-cycles.com/

dimanche, mars 22

Bandes élastiques : une aide pour les sportifs ?

Depuis des années, les bandes élastiques sont utilisées dans les domaines du sport et de la physiothérapie. On les voit sur la peau des sportifs lors de championnats du monde, des Jeux olympiques et lors de compétitions sportives les plus diverses. En physiothérapie, la bande élastique fait partie intégrante de la prévention et de la rééducation. Mais l’utilisation de ces bandes colorées est-elle vraiment pertinente?

Bandes élastiques contre bandes classiques

La méthode du kinesio taping a vu le jour en 1971 sous l’impulsion du chiropracteur japonais Kenso Kase. Depuis 1998, cette méthode est utilisée avec succès en Europe. En quoi les bandes élastiques se distinguent-elles des bandes classiques non élastiques? Avec les bandages classiques, les articulations sont stabilisées de façon mécanique. La liberté de mouvement est entravée. A l’inverse, les bandes élastiques favorisent le mouvement et influent positivement sur la guérison de la blessure. C’est la raison pour laquelle on parle de kinesio taping. Le mot «kinesis» vient du grec et signifie «mouvement».



Domaine d’application de la bande élastique

La bande, hautement élastique, respirante et douce pour la peau, accompagne le processus de guérison après les blessures, aide en cas de douleurs et peut même être utilisée de façon préventive. Le spectre des indications est très vaste. Elle peut être utilisée dans les cas suivants: douleurs dorsales, douleurs aux vertèbres cervicales et aux épaules, douleurs aux genoux, tennis elbow, douleurs aux articulations du pied, au tendon d’Achille, aux hanches, etc. La bande est une forme de thérapie qui se combine aisément à d’autres traitements et programmes d’entraînements.



Comment fonctionne la bande élastique?

Lorsqu’une structure du tissu, par exemple la musculature, est blessé, la zone est enflammée et enfle. L’espace entre la peau et la musculature est comprimé, le système lymphatique et les vaisseaux sanguins sont soumis à une pression. La circulation des liquides via le système lymphatique s’en trouve entravée. La compression stimule les récepteurs de la douleur du système nerveux, un état qui provoque des douleurs locales. La personne concernée tente alors de ménager la structure blessée en évitant de la bouger. Le fonctionnement des tissus est limité et le processus de guérison est ralenti.




Quand la bande élastique est appliquée sur la peau tendue, la peau et la bande forment alors des plis cutanés. L’espace entre la peau et le tissu sous-cutané augmente. Il se produit alors une pression négative qui élargit les vaisseaux lymphatiques et sanguins. Les mouvements perpétuels du corps soulèvent et abaissent la peau, tout en l’étirant sur le côté. Le liquide peut circuler plus facilement dans le système lymphatique et la microcirculation sanguine se renforce. Le gonflement du tissu diminue, tout comme la pression sur les récepteurs de la douleur. Le mouvement actif est stimulé, le tissu est donc approvisionné en sang neuf et le processus de guérison est favorisé. Même après des blessures sévères et des opérations, les patients sont encouragés à bouger le plus rapidement possible. Le but du kinesio taping est donc de favoriser le mouvement. Les propriétés hydrofuges de la bande élastique permettent de la porter pour faire du sport, se doucher ou prendre un bain.



Efficacité du kinesio taping

Régulation de la tension musculaire et du mouvement: L’enquête de Hsu et al. (2009) a montré que l’activité musculaire électrique dans le muscle trapèze, muscle profond, a pu être significativement augmentée par la bande élastique. L’étude a été réalisée avec des sportifs atteints de douleurs aux épaules. Gonzalez-Iglesias et al. (2009) ont démontré une amélioration considérable de la motricité des vertèbres cervicales par l’application des bandes élastiques après un coup du lapin.
Amélioration de la circulation sanguine: L’étude de Kase et al. (date inconnue) a démontré une augmentation de la vitesse du débit sanguin périphérique grâce à l’application de bandes élastiques.
Activation du système lymphatique: L’étude de Bialoszewski et al. (2009) a conclu que le traitement de l’œdème lymphatique des membres inférieurs avec la bande kinésiologique est efficacement clinique. La circonférence de la jambe a pu être significativement diminuée.
Réduction des douleurs: Différentes études ont décrit une diminution des douleurs avec l’application correcte de la bande. L’étude de Thelen et al. (2008) a montré une augmentation de l’angle de rotation de l’épaule sans douleur. L’avantage est de pouvoir réduire au maximum les faux mouvements.
Amélioration de la perception et de la sécurité: Les effets précités influent positivement sur la perception et la sécurité. D’après De la Motte et al. (2008), les patients avouent de manière subjective que l’articulation avec une bande peut être stabilisée plus activement.

La qualité de la bande est décisive


La bande élastique peut être utilisée dans de nombreux cas. Elle permet de favoriser les processus de guérison et les performances corporelles. En association avec d’autres traitements, le corps peut être rapidement rééquilibré. L’efficacité de la bande dépendant de sa durée d’application, elle favorise les autres traitements, même quand le patient est chez lui. A l’inverse des bandages classiques, le mouvement et la guérison des blessures sont favorisés.

En outre, il faut mentionner que l’application n’est efficace que si la bande utilisée est d’excellente qualité. Si l’efficacité reste constante pendant plusieurs jours, la bande est donc de bonne qualité. La couleur de la bande n’a aucune incidence sur sa qualité. La bande élastique ne contient aucune substance ou médicament. Seule une application correcte assure son efficacité. Il est donc d’autant plus important que la bande soit posée par un spécialiste.

source :www.datasport.com

samedi, mars 21

- 50 % sur tout le SPECIALIZED chez FOFO !

De passage dans la station des rousses c'est avec beaucoup d'émotion mêlée de nostalgie que j'ai poussé la porte du magasin de cycles " CHEZ FOFO " qui avant d' etre quelque peu oublié des cyclos du pays de gex représentait le fleuron des boutiques axée " petite reine " et VTT .

Pas une semaine dans les années 95/2000 sans s'y rendre  dans cette " mecque " du vélo . A l'époque point de CULTURE VELO THOIRY et sa patronne hautaine juste bonne a vous vendre des tenues ASSOS a 350 euros fabriquées en europe de l'est ( et pas en suisse comme beaucoup le croient ) , INTERSPORT ST GENIS lui proposait d' excellents services ( ah le sav d'éric ! ) mais coté matos rien de très exotique ou rare , Il y avait bien HOT POINT a GENEVE mais le franc suisse mettait la barre un peu trop haut pour songer a délier sa bourse ...

Chez les cycles FORESTIER ( d'où le surnom de fofo ) tout était réuni pour se croire l'espace d'une visite, redevenu un enfant avec des yeux gros comme des billes ( ou des bigarros pour ceux qui se rappellent ...) , les noms chantent encore a mes oreilles : CANNON , RAVEN ,MIDDLEBURN ( les plateaux et manivelles usinés dans des Blocs d'alu ), PAUL et ses ensembles vbrake/leviers d'un design et d' une finesse absolue , MAGURA et ses freins hydrauliques a patins , a la puissance sans commune mesure dont le seul handicap étaient que la boue les rendait inopérants dans ce contexte ( et en vtt y a beaucoup de boue ! ) SUNN et ses superbes fourches carbone au débattement minimaliste ( 32 mm , aujourd'hui 120 a 140 mm même en cross country ! ) SYNCROSS ,KOOKA etc que de souvenirs !

Bon pour en revenir au sujet initial sachez que FOFO ne travaillera plus avec SPECIALIZED lassé des demandes irréalistes demandé par ce fournisseur , on connaît le principe , toujours plus de chiffre d'affaires avec toujours moins de moyens et surtout avec beaucoup plus de points de ventes donc de concurrence qui s'implantent ! GIANT les remplacera , certes c'est moins glamour ...

En attendant tout le stock est bradé a moins 50 % , de vrais soldes hein pas celles d'autres enseignes qui augmentent leur prix avant de les baisser pour vous donner l'illusion de faire des affaires ! A ce sujet un jour je compte bien m' attelez a démonter les arguments de certains sites internet vous proposant des remises de 50 a 70 % sur des prix de base JAMAIS pratiqués !
Alors a bientôt et tous chez " FOFO" !!!

Back to the roots !

Encore pas de fourche téléscopique sur ces deux modèles , bonjour le dos !


A gauche le fameux SBIKE monopoutre de Nicolas VOUILLOZ , il sera champion du monde de descente en 92 avec un modèle similaire ...

Ah le " RAVEN " fantasme ultime , il devait valoir a peu près 35 000 de nos anciens francs a l'époque !

Le " JEKILL " en alu poli et la fameuse "LEFTY" monobras toujours d'actualité 15 ans après !

Le pédalier  shimano " XTR" , indestructible !


vendredi, mars 20

Sortie du jour

Quelques images de la sortie du jour , 85 kms en pente douce depuis GEX jusqu ' a CHANCY ( commune la plus occidentale de SUISSE ) puis une remontée sur FARGES et LE COL DU SAC via le hameau désertique d' ASSERANS ,village ( ? ) propre a vous télé porter 30 années en arrière lorsque l'urbanisme n'avait pas encore modifié le PAYS DE GEX , pour le meilleur ( l' activité économique ) et le pire ( la circulation exacerbée et son corollaire : la pollution aux nano particules ...)
Nous n atteindront pas le sommet du col , bloqués , on s'en doutait un peu , par la neige . Mais l ' occasion était belle d ' aller  tutoyer les sommets après nombres de sorties ou les tout petits développements n'étaient que rarement sollicités !

 L ' occasion également de revoir sur un vélo , avec beaucoup de plaisir SERGIO et OLIVIER nos médaillés d'argent ( avec le " cyclope , en vacances actuellement ) du SWISSPORT TROPHY course " massacrante " de ski de fond ( hum , hum ... ) qui s'est déroulé le mois dernier sur le site de LA VATTAY .

En troquant leur skis contre des bicyclettes , nos 2 compères n'ont rien perdu de leurs qualités , preuve s ' il en ai une fois de plus que certaines activités hivernales peuvent avantageusement remplacer le vélo pour ceux qui craindraient ( moi le premier ) de perdre tout le bénéfice d'une saison en ne touchant pas a leur monture favorite !

Un grand bravo également a ma compagne EMILIE , admirable de courage et d'opiniâtreté qui trouvera les ressources pour participer ( dans la souffrance ) a nos habituelles joutes de fin de parcours lorsque la fin de sortie se profile et que l ' on peut enfin lâcher les " watts "!!! Peut être que son  sens olfactif  avaient déjà décelé le fumet du coq au vin qu ' OLIVIER nous servira en terrasse sous un soleil radieux une fois arrivé a bon port !


Le col du sac ,On le monte rarement car la descente a tot fait de mettre les nerfs a vif avec un revetement cahotique ...

Fin du bal a quelques encablures du sommet !

Défilé de stars chez GALLIANO  ?  SUPER MARIO , OLIVE et SERGIO . 
EMILIE n'aime toujours pas la grimpette mais elle s'accroche diablement bien ...

OLIVE serait il en manque de tendresse ? " cyclope " revient !!!

A bientot !

SUPER MARIO

mercredi, mars 18

Un aller simple pour SALINS LES BAINS !

Ça faisait un moment que l’idée germait dans ma tête : faire une belle sortie de vélo ( minimum 100 bornes ) et me relaxer dans les eaux bouillonnantes et vivifiantes d’un institut thermal avec un retour en voiture bien sûr !

Autre conditions à ce trip : que le parcours envisagé me mène loin des routes trop fréquentés du pays de Gex et du bassin lémanique , exit donc les bains de LAVEY LES BAINS et ceux trop stéréotypés de NEYDENS !

Direction pour ce faire : SALINS LES BAINS petite ville du jura et ancienne capitale de « l’ or blanc » ( le sel …)

Autant le dire tout de suite la sortie n’a rien d’ une épreuve de force puisque le dénivelé cumulé positif n’excèdera pas les 1300 mètres , rien de rédhibitoire pour un cycliste un peu entrainé sauf qu’ au sortir de cet hiver relativement rude eu égard aux nombreuse chutes de neige notre condition physique n’a rien de comparable à celle de l’an passé et sa météo on ne peut plus clémente !

Surtout s’ attaquer à la faucille en guise d’apéro , à froid et au réveil n’ a rien de franchement réjouissant , 11,5 kms à se demander si on ne ferait pas demi-tour au sommet écœuré de devoir mettre plus qu’ à son habitude le braquet de 34/27 …

Autre petite contrariété au sommet et jusqu’ à LA CURE un froid sec empêche tout réchauffement du corps et du …moral , surtout lorsqu’ on croise des skieurs de fond qui eux portent une tenue en parfaite adéquation avec cette petite Sibérie qu’ est la station des ROUSSES !

Portion LA FAUCILLE/LE TABAGNOZ et ses murs de neiges " éternelles" !

C’est ensuite que cela devient intéressant ( au moins à cette période de l’année ou le corps se « cherche » un peu ) avec de longues portions descendantes , très sinueuses à fleur de roche qui s’enchainent jusqu’ à MOREZ puis MORBIER avec en toile de fond les nombreux viaducs qui m’accompagneront jusqu’ au bout de mon périple .

MOREZ capitale de la lunette mais dénuée de charme ...

Le col de LA SAVINE vient vous rappeler qu’ il est de bon ton de se méfier des vallons du JURA avec 6,5 kms d’ascension à 4,4 % de moyenne , pas difficile mais encore loin du but , après quoi le parcours ne comportera plus aucune difficultés majeures et vous aurez tout le loisir de vous émerveiller sur la beauté de certains sites comme les gorges de LA LEMME , rivière vierge de toute pollution parsemée ici et là de petites cascades venant chatoyer votre œil et bientôt vos papilles puisque a ce cours d’eau vont succéder un nombre incalculable de « fruitières a fromages » et d’établissement vous proposant le fameux « fumé du jura » .


Le col de LA SAVINE et son profil tout doux .
La LEMME .

 Le final ravira une fois de plus les « dévaleurs » de pente avec environ 10 kms de descente ininterrompue avec toujours un bitume « propre » et une succession de lacets bien dessinés . Une petite salade franc-comtoise et direction les thermes pour un tryptique : piscine/sauna/hammam avec EMILIE mon chauffeur pour le … retour !

A bientôt



EMILIE se ressource , demain 4 heures de tandem l'attendent !!!!


SUPER MARIO


J ' allais l'oublier ! Le " fumé du JURA ...

samedi, mars 14

Comment lutter contre le vent !

Un sujet oh combien d'actualité après notre sortie du jour avec émilie et notre tandem , pas tant pour le retour ou poussé par EOLE notre monture brûla le bitume ( hum ...)  a grands coups de 53/11 mais plutôt pour l'aller jusqu ' a AUBONNE ( notre petite capitale ...) ou le tandem évolua a des allures presque indécentes ( 13/14 km/h dans la cote de FECHY ...) cherchant vainement la bonne carburation ,le bon rapport , rasant le moindre muret pour gommer un tant soit peu les effets des rafales a 40/60 km/h , le littoral vaudois s'étant décider a plagier celui des cotes méditerranéennes !
Voici l' article :

Le léman sous l'effet du vent se transforme en " grande bleue " ...

COMMENT LUTTER CONTRE LE VENT

Cette force invisible qui peut rendre nos sorties, courses ou randonnées très désagréables, fait partie intégrante du sport cycliste. On ne peut rien contre le vent, si ce n’est apprendre à déjouer les pièges qu’il tend, ou à s’en servir pour tenter de mettre en difficulté l’adversaire.
Crédit photos : Sylvain Pigeau
Les progrès de la météo permettent de prévoir à quelque chose près le temps qu’il va faire, ainsi que l’intensité du vent, et surtout sa direction. Nombreux sont pourtant les cyclistes, confirmés ou occasionnels, qui sont démunis face à ce souffle qui déstabilise, autant qu’il peut rendre fou. Certaines régions sont plus ou moins défavorisées par les caprices d’Éole, selon le relief ou le courant maritime qui domine. Mais il existe tout de même des lieux privilégiés où le vent s’exprime avec plus de facilités, des plaines du Nord à celles de la Beauce, des marais Poitevins ou Vendéens à la vallée du Rhône, les cyclistes doivent savoir composer avec. Il est très décourageant de se battre seul face au vent, de vaincre cette puissance invisible qui nous ralentit sans que l’on puisse exactement matérialiser la difficulté, au contraire d’une côte à fort pourcentage. Il est en revanche très grisant de se sentir porté par le vent, surtout lorsque le trajet d’entraînement a été bien calculé, avec un retour favorable qui permet de finir avec de bonnes sensations de vitesse. Mais le vent peut s’avérer aussi très dangereux pour celui qui ne maîtrise pas et ne comprend pas ses effets. Dangereux parce qu’un vent fort et en rafale peut faire chuter un cycliste. Périlleux également sur le plan sportif et vos potentialités à faire le résultat escompté, puisque un mauvais placement au mauvais moment peut tout gâcher. Avant toute chose, il est nécessaire de se donner une idée comptable des effets du vent de face.


UNE DIFFICULTÉ À PART ENTIÈRE

Lorsqu’un bulletin météo indique la force du vent (en km/h), celle-ci est prise à 10 mètres du sol. Un cycliste peut diviser par deux le réel effet du vent contraire sur sa progression. Ainsi, si le vent souffle à 40 km/h selon météo France, on le ressent en réalité à 20 km/h. C’est toutefois suffisant pour limiter considérablement la progression. Selon la position adoptée sur le vélo, entre les mains en haut du guidon et une posture de rouleur contre la montre avec les mains sur le prolongateur, le coefficient de pénétration dans l’air passe d’environ 0,43 à 0,25. Autrement dit, on économise 30 watts à 30 km/h dans cette configuration. Reste qu’avec un vent de face ressenti à 20 km/h, il faut donc déployer entre 40 et 70 watts supplémentaires pour rouler à 30 km/h, par rapport à des conditions de vent nul. Si le vent ressenti est de 50 km/h, on passe à une résistance de 255 à 440 watts, toujours pour rouler à 30 km/h. Nous avons donc tout intérêt à adopter une position la plus aérodynamique possible, et à rouler en groupe. Car en adoptant la technique des relais, il est possible d’économiser de 20 à 30% d’énergie selon la position dans le groupe grâce à la protection offerte par les cyclistes qui précèdent.

La barillette attendra encore un peu ...

UNE COMPOSANTE DU VÉLO

La présence ou non de vent doit être considérée comme un élément déterminant de toutes les épreuves cyclistes. Avec un peu d’habitude et de connaissance de soi, le vent se gère s’il ne s’agît que d’entraînement en solitaire. Il suffit alors de l’intégrer dans la difficulté du parcours choisi, et relativiser ses effets défavorables ou non. Mais lors d’une épreuve, quel que soit le niveau, le vent peut se révéler bien plus dévastateur qu’une succession de côtes. Il est évident que plus la vitesse moyenne de l’épreuve augmente, plus le vent joue un rôle déterminant. Mais souvent, la puissance des cyclistes concernés va de pair avec la moyenne générale de l’épreuve. Bref, savoir se mouvoir au sein d’un peloton les jours de grand vent, cela s’apprend plus ou moins jeune, selon si l’on a été exposé ou non à ce genre de difficulté dès les premiers tours de roues. Les jeunes Belges ou Hollandais savent très tôt s’organiser face aux caprices du vent. C’est une question de culture. Plus le niveau de la course augmente, plus le nombre de compétiteurs qui savent se placer et s’organiser par rapport au vent est important. Le but du jeu étant bien entendu de ne pas forcément arriver tous ensemble sous la banderole, tous les moyens sont donc presque permis pour tenter de disloquer le peloton. La force du vent et sa direction doivent toujours faire partie de vos préoccupations principales avant le départ d’une épreuve. Sur une course en ligne, il est impératif de repérer sur une carte le parcours, ainsi que la direction du vent. Il faut mémoriser ou noter les endroits où vont se produire les principaux changements de direction. Un petit sparadrap collé sur la potence avec les indications principales peut se révéler un allié précieux. Si l’idée principale peut souvent être de rester à l’abri le plus longtemps possible avant de produire l’effort décisif, il faut procéder tout autrement à l’approche des principaux changements de direction. Plus le peloton est important, plus il est nécessaire de pouvoir se placer dans les premières positions avant de virer de bord, de manière à éviter les cassures. Une difficulté technique qui intervient toujours lorsque le vent souffle de côté.

LE BON ÉVENTAIL

Un minimum de notion cycliste suffit à comprendre comment se relayer lorsque le vent vient de face. Dans le cas où l’on appartient à un groupe plus ou moins nombreux, et dans le cas où tout le monde ou presque souhaite la bonne progression du groupe, il est facile de mettre en œuvre des relais simples. En gros, le coureur de tête affronte le vent de face durant quelques centaines de mètres pendant que ses compagnons profitent de son sillage pour récupérer. L’abri ainsi proposé permet à tout le monde de produire un effort plus violent. Chaque cycliste accomplit donc sa part de travail, puis retourne à la fin de la file dans les roues, pour à son tour récupérer et reprendre son relais quelques kilomètres plus loin. L’organisation du groupe est sans failles si tout le monde joue le jeu, mais peut devenir problématique à partir du moment où l’un ou l’autre refuse de collaborer pour uniquement profiter du sillage des autres concurrents. On peut noter d’ailleurs que ce type d’organisation est aussi valable avec le vent dans le dos, puisque la résistance à l’air est augmentée de façon exponentielle avec la vitesse. Ainsi, se relayer à 60 kilomètres à l’heure vent favorable est aussi difficile que 20 Km/h moins vite vent de face.

Le fameux éventail .

Vent de côté, de trois-quarts face ou de trois-quarts dos, le principe est sensiblement le même, sauf que chaque coureur se décale légèrement par rapport à celui qui le précède. Il n’y a qu’à observer les oiseaux migrateurs pour remarquer leur organisation. Mais si dans le ciel, la largeur de ce qu’on appelle l’éventail peut être infinie selon le nombre d’oiseaux, sur la route il en va tout autrement puisque celle-ci est limitée. Si le coureur de tête se positionne d’un côté de la route, il est donc facile d’imaginer que le nombre de coureurs abrités sera donc limité, puisque chacun sera décalé par rapport à l’autre. Selon la largeur de la route et le nombre de coureurs, tout le monde n’est pas protégé. Pour aller encore plus vite, l’éventail peut s’organiser en double éventail, c’est-à-dire qu’il y a une file de coureurs décalés qui monte pour que chacun aille prendre son relais et affronter le vent, et l’autre file de coureurs décalés aussi qui est constituée de ceux qui viennent de faire leur part de travail. Ce genre d’organisation en tête de groupe a vite fait de mettre en difficulté ceux qui ne sont pas intégrés à l’organisation. Les coureurs non abrités se retrouvent en file indienne dans ce qu’on appelle la bordure. Comme une route est rarement totalement droite, que le vent peut souffler en rafale, ajoutant ainsi à l’instabilité de la situation, que les relances sont fréquentes, il se produit un inévitable effet élastique dans la bordure, si on est éloigné de l’éventail. Les cassures sont donc inévitables. Au sein même de cette file indienne, certaines places sont même un peu plus appréciables que d’autres. Il suffit d’être placé juste derrière un coureur mal habile, mais costaud si possible, qui roule légèrement décalé par rapport à la file indienne elle–même très proche du bord de la route, pour profiter d’un très léger abri supplémentaire. On constate souvent d’ailleurs qu’un coureur sur deux au sein de cette file indienne est très légèrement décalé, tout simplement parce qu’il n’y a plus de place sur le côté, et parce qu’il faut bien regarder ce qui se passe devant. Tout l’art du spécialiste consistera donc à toujours se placer dans cette situation périlleuse derrière un coureur lui-même un peu décalé, quitte à perdre quelques places volontairement pour trouver le bon.

Bien sûr, il existe de nombreuses variantes à cette situation. On peut imaginer que les coureurs de l’éventail se jugent trop nombreux, et souhaitent donc éliminer quelques indésirables. Il leur suffit donc de resserrer leur ordre de marche, afin de mettre plus de coureurs en difficulté derrière. On peut aussi voir une équipe très bien organisée, connaissant parfaitement les lieux, monter un coup en accélérant aux abords du changement de direction. Les dégâts sont souvent conséquents car aucun coureur de tête ne se pose de question. D’ailleurs, un coureur a toujours tout intérêt à collaborer dans un éventail. D’une part pour ne pas le désorganiser si il a la chance d’y appartenir, et d’autre part pour ne pas faire partie de ces indésirables que l’on tentera de mettre à nouveau dans la bordure à la première occasion. Il faut bien sûr rester toujours vigilant, même au sein de l’éventail, car en cas de nouveau changement de direction, si la route est subitement moins large, il n’y a plus de place pour tout le monde. Voilà pourquoi certains éventails s’amenuisent au fil des kilomètres.

Et la non moins fameuse bordure , la cassure s'opère !

DUR POUR TOUT LE MONDE

Physiquement, ce genre de situation est difficile pour tout le monde. L’analyse des courbes cardiaques lors de ce genre de course montre une sollicitation physiologique équivalente à de la moyenne montagne. Mieux vaut donc collaborer, et garder le contact avec la tête lorsque c’est possible. Dans les courses de très haut niveau, rares sont les coureurs qui restent dans la bordure sans réagir. L’instinct et l’expérience incitent à ouvrir un deuxième éventail, voire un troisième. Le but étant de conserver le contact, à une centaine de mètres du premier éventail, tout en s’organisant. Il ne faut donc pas hésiter à exhorter les adversaires qui se situent dans votre périmètre à collaborer avec vous pour former l’éventail suivant. C’est votre seul chance de revoir la tête quelques kilomètres plus loin. Attention à ne pas rester trop près du premier groupe, ce qui risquerait d’inciter des coureurs de votre éventail de tenter leur chance pour boucher seuls le trou. Ce qui bien sûr désorganiserait votre bel ordonnancement.

Ces faits d’armes sont plus rares lors d’une cyclosportive. Le nombre de cyclistes expérimentés étant trop faible pour réellement jouer avec les éléments. Cependant, il peut être très important de s’inspirer de ces situations ne serait-ce que pour prendre place au sein du bon paquet. Celui qui vous permettra de gagner plusieurs dizaines de minutes sur un temps de référence.

SE PLACER

Le bon placement revêt toute son importance à l’abord des difficultés. Mais il est toujours possible de remonter à l’avant du peloton dans les premiers kilomètres d’un col par exemple, si l’on est vraiment costaud. Ce qui ne suffit pas la plupart du temps sur le plat lorsque le peloton se morcelle. Il est donc impératif de repérer le parcours à l’aide d’une carte détaillée avant le départ. Il faut juger de la force du vent, mais surtout de sa direction. Il est nécessaire de noter le nom des villages qui peuvent servir de repère. Et toujours remonter dans les premières positions avant le changement de direction. Dans les pelotons cyclosportifs, faire l’effort en prenant un peu de vent suffit largement. Ces efforts ne sont pas gratuits, puisqu’ils sont capitalisés par le fait d’appartenir au bon éventail. Plus le niveau des épreuves ou compétitions est élevé, plus le nombre de participants à vouloir tenter la même opération est important. C’est là que l’on assiste très vite à une foire d’empoigne pour tenter de gagner des places. C’est ce qu’on appelle frotter, jouer des coudes, sentir la bonne vague, ne pas se faire enfermer, comme lorsqu’on aborde un sprint. Certains sont experts dans cet art d’équilibriste et de « pousse-toi-de-là », même si les mauvais gestes sont rares finalement .

 Mais c’est aussi ce qui occasionne des chutes, d’autant plus nombreuses qu’il y a de l’enjeu. On ne se meut pas dans un peloton aisément lorsque l’on a des appréhensions, que l’on se sent enfermé et que l’on craint la chute. Et surtout, le fait de ne pas être un compétiteur né peut faire cruellement défaut. Il va de soit que les jours de grand vent, le matériel choisi a aussi toute son importance. Des roues à jantes trop hautes font perdre de la maniabilité. Même les cadres aux tubes surdimensionnés peuvent poser problème en cas de fort vent latéral. Au niveau vestimentaire, il est essentiel de porter des vêtements ajustés, ne serait que pour l’économie d’énergie que cela peut apporter.

Pour ceux qui s’en tiennent à quelques cyclosportives par an, ces quelques explications sur la bonne organisation face et contre le vent peuvent suffire pour mieux appréhender ce type d’épreuves. Ne pas se laisser surprendre et savoir pourquoi le vent est si important dans la composante des résultats d’une épreuve, c’est déjà un plus indéniable.

SOURCE http://www.velochannel.com/:

mercredi, mars 11

Puissance au seuil et PMA ...

Qu 'est ce que  La puissance au seuil ?

Pour Andrew Coggan, scientifique sportif spécialiste de l'entraînement avec la puissance, la puissance au seuil est le déterminant physiologique le plus important de la performance de l'endurance cycliste, puisqu'elle intègre la VO2 max, le pourcentage de VO2 max qui peut être soutenu pendant une durée donnée, et le rendement en roulant.

Si bien sûr, le moyen le plus efficace pour un cycliste, de déterminer sa puissance au seuil est de réaliser un test en laboratoire en mesurant les lactates présents dans le sang. Cette pratique est non seulement difficile à mettre en oeuvre, mais fournit des résultats qui ne sont pas toujours précis.
La meilleure façon pour déterminer sa puissance au seuil, reste de réaliser un test sur le terrain. Il est possible d'utiliser l'un des 2 tests ci-dessous. Un avantage supplémentaire des tests de terrain est qu'il peuvent être facilement réalisés plusieurs fois dans la saison, au fur et à mesure que la condition physique du cycliste évolue.


Réaliser un test sur une distance d'environ 40 km (durée entre 50 et 70 minutes selon la vitesse réalisée) avec un vélo équipé d'un capteur de puissance. La puissance moyenne maintenue durant ce test donne une appéciation de la puissance au seuil.

Réaliser deux tests de puissance maximale de durée différente (entre 3 et 30 minutes) sur le même parcours. Il faut commencer par réaliser le test le plus court, et ensuite le plus long : 6 minutes puis 12 minutes sont de bonnes durées pour les deux tests. La détermination de la puissance au seuil se fait en se basant sur la différence de puissance soutenue sur les deux tests .

La puissance maximale aérobie :

La PMA est la puissance maximale développée lors d'un effort aérobie à intensité maximale, par exemple lors du test VO2max. Elle est la conséquence physiologique de la puissance musculaire. Elle correspond à des efforts réalisés au dessus du seuil (> 90% de FC max).


Il est possible d'estimer la PMA grace à un test effectué sur un home trainer équipé d'un sytème de calcul de puissance. Pour la bonne réalisation du test, le cycliste devra avoir complètement récupéré de ses efforts des derniers jours : l'idéal serait de ne pas avoir fait d'entraînement l'avant veille du test, et de réaliser un entraînement court et non intensif la veille du test.
Le test devra durer entre 8 et 15 minutes, et consiste à rouler en augmentant progressivement le niveau de puissance. Le cycliste commencera le test à un faible niveau de puissance (généralement 100 watts), puis augmentera identiquement de façon régulière, comme suit :

pour une féminine : augmentation de 15 watts par minute
pour un homme, élite : augmentation de 20 watts par minute
pour un homme, non-élite : augmentation de 25 watts par minute
Le test se termine lorsque le cycliste n'est plus en mesure de fournir le niveau de puissance demandé. La PMA correspond alors à la puissance moyenne produite durant la dernière minute du test.

Voila pour le test si l' on dispose bien sur d' un capteur de puissance ce qui n'est le cas de personne dans le groupe sauf de FAB " le cyclope " ! On va attendre son retour de la guadeloupe pour lui demander d'essayer !!!
Pour les autres je mettrai en ligne demain ( ou apres demain ...) un test pour les moins fortunés d'entre nous !


lundi, mars 9

Nouveautés SPE 2015

DES NOUVEAUTÉS ROUTE CHEZ SPECIALIZED CÔTÉ ACCESSOIRES :

La partie équipement s’enrichit avec de nouvelles chaussures, une selle course et un pneu S-Works Turbo.

CHAUSSURES AUDAX


Une nouvelle chaussure aux lignes stylées disponible en plusieurs coloris différents. Semelle externe carbone/composite Powerline, semelle interne Body Geometry, fermeture 2 Velcro + 1 Boa S2-Snap, tige en Micromatrix perforé.

Coloris : rouge, blanc, noir, orange, gris, bleu clair
Poids constructeur : 500 g la paire en taille 42
Prix public : 249,90 Euros

CHAUSSURES S-WORKS

Aucun changement technique sur le haut de gamme S-Works mais arrivée de nouveaux coloris Team, bleu/noir et jaune/noir. Prix public inchangé : 329,90 Euros


PNEU S-WORKS TURBO

Le pneu S-Works Turbo évolue avec une carcasse différente mais davantage de gomme. Gain en adhérence et meilleure résistance aux crevaisons selon la firme californienne qui a également revu le dessin du pneu pour améliorer la performance. Les tests internes annoncent 35 secondes de gagnées sur un parcours de 40 km sur une heure ! Deux largeurs au choix.

Carcasse : 220 TPI, protection BlackBelt
Gomme : Gripton
Dimensions : 700×24 et 700×26
Poids constructeur 24/26 mm : 205g / 220g
Prix public : 39,90 Euros


KIT BOA S2-SNAP

Pour personnaliser vos chaussures route ou VTT, Specialized propose désormais un kit disponible en 6 coloris différents – jaune, turquoise, bleu, orange, rose, rouge – comprenant les 2 lacets et les 2 BOA.
Prix public : 29,90 Euros


SELLE POWER

Une nouvelle selle pour courir sur route, Specialized précise : «Cette selle possède un design spécifique permettant un transfert de puissance optimal tout en offrant un confort inégalé en position basse aérodynamique. L’évidement spécifique Body Geometry permet de conserver un bon flux sanguin.»
Quatre finitions, un à trois coloris au choix selon le modèle et deux à trois largeurs disponibles.


- POWER S-Works : 3 couleurs (noir, blanc ou rouge) et 2 largeurs (143 ou 155 mm), rails et coque en carbone FACT. Prix public : 249.90€



POWER Pro : 2 couleurs (noir ou rouge) et 2 largeurs (143 ou 155 mm), rails en titane et coque en carbone FACT. Prix public : 179.90€


- POWER Expert : 2 couleurs (noir ou blanc) et 3 largeurs (143, 155 ou 168 mm), rails en titane et coque composite renforcée de carbone FACT. Prix public : 119.90€


POWER Comp : 1 couleur (noir) et 3 largeurs (143,155 ou 168mm), rails en CrMo et coque composite renforcée de carbone FACT. Prix public : 79.90€






























































































































vendredi, mars 6

PHOTO ...


Superbe photo de deux icones du sport italien ( mondial ) reconnaissables entre toutes : MARCO et VALENTINO ...

mercredi, mars 4

ORBEA ORCA M10 I

Des photos du nouvel ORBEA ORCA ( 7 ème génération ) avec un coloris rose du plus bel effet !







la fiche technique :

Cadre : Carbone OMP
Fourche : Carbone OMP
Dérailleurs : Shimano Dura-Ace Di2
Poignées : Shimano Dura-Ace Di2
Cassette : Shimano Dura-Ace 11/28 ou 11/25 dents
Chaîne : Shimano Dura-Ace
Pédalier : Shimano Dura-Ace PressFit 50/34 ou 53/39 dents
Freins : Shimano Dura-Ace
Roues : Vision Metron 40 (option)
Pneus : Vittoria Corsa CX 700×23
Potence : FSA OS-99 (option)
Cintre : FSA K-Force (option)
Tige de selle : FSA SL-K 350 x 27.2 mm
Selle : Prologo Scratch 2 Tirox
Poids : 6,99 kg sans pédales en taille 51
7 tailles : 47, 49, 51, 53, 55, 57, 60
5 coloris

Prix public : 8160 € (à partir de 6499 € pour la version hors options)
Programme personnalisation Orbea : Modifications possibles à la commande sur braquets, poste de pilotage et roues.

source :http://www.velochannel.com/